French version follows
Here are a few things that I believe in. I speak about them regularly.
v There is no joy overachieving on mediocre goals.
v Stress is the spice of life. It simply means we care about what we are doing. (Anxiety is what occurs when we are not prepared).
v In the pursuit of anything of value, we will be presented with at least one “Can I? Will I?” moment. At that moment we have three choices:
- Quit. Be overwhelmed by the task. Assign blame and responsibility to others.
- Give up control; contribute nothing more, nothing less. Let the finish line come to you: Close your eyes and pray for the end.
- Attack. Push into your fears with your eyes wide open. Accept that you are both in control AND in unknown territory.
- If you quit once you are cracked, if you quit twice you are broken and have taught yourself to be a quitter.
- If you give up control of the outcome and let it come to you, you will find yourself filled with remorse. Thoughts of “I wish I would have…” will linger with you like a bad smell.
- If you attack – everything is possible. If you attack – you still cannot guarantee the outcome, but you can feel great about your effort.
Notice your ‘Can I? Will I?’ moments in training. See how often you are attacking them. Notice your ‘Can I? Will I?’ moments in competition. See how you feel about your choices.
If you feel great – then you’re making the right choices. Bravo! If you feel too much “I wish I would have”… teach yourself to be hungry when it counts.
Attack!
(Oh, by the way – there are so many people who are proud of you already, and I am one of them. )
Les moments de doute : « Puis-je? » « Pourrai-je? »
Voici quelques idées auxquelles je crois. J’en parle régulièrement.
v Il n’y a aucune joie à dépasser des objectifs médiocres.
v Le stress est l’épice de la vie. Il signifie seulement que nous accordons de l’importance à ce que nous faisons. (L’anxiété se manifeste quand nous ne sommes pas prêts).
v Dans la poursuite d’un objectif important, nous traversons au moins un moment « Puis-je? » « Pourrai-je? ». À ce moment, vous avez trois choix :
- Abandonner. On est dépassé par la tâche. On fait porter le blâme et la responsabilité à d’autres.
- Laisser tomber le contrôle. On ne fait rien de plus, rien de moins. On laisse la ligne d’arrivée venir à nous : On peut alors fermer les yeux et prier pour en finir.
- Attaquer. Affronter ses peurs avec les yeux grands ouverts. Accepter le fait d’être « en contrôle » ET « en territoire inconnu ».
- Si vous abandonnez une fois, vous vous cassez; si vous abandonnez deux fois, vous vous brisez, et cela veut dire que vous êtes un « lâcheur ».
- Si vous laissez tomber le contrôle du résultat et que vous laissez le résultat venir à vous, vous aurez beaucoup de remords. Les pensées du genre « Si j’avais fait ceci ou cela… » ne vous quitteront pas.
- Si vous attaquez, tout est possible. Si vous attaquez, vous ne pourrez toujours pas être sûrs du résultat, mais vous vous sentirez bien d’avoir fait des efforts.
Pensez à vos moments « Puis-je? » « Pourrai-je? » à l’entraînement. Pensez au nombre de fois que vous les avez attaqués? Pensez à vos moments « Puis-je? » « Pourrai-je? » en compétition. Pensez à ce que vous avez ressenti par rapport à vos choix.
Si vous vous sentez bien, alors vous faites les bons choix. Bravo! Si vous vous dites que « Si j’avais fait ceci ou cela… », il faut apprendre à vouloir lorsque ça compte.
Attaquez!
(En passant, plusieurs personnes sont fières de vous, et je suis l’une d’entre elles.)